Peut-on devenir passeur d’âmes ?

Peut-on devenir passeur d’âmes ?

12 février 2023 0 Par Joel

ü  Inceste, en dehors de son aspect tragique et dramatique, cette situation a des conséquences sur la confiance et la culpabilité. La formation passeur d’âmes répond à toutes ces questions et vous permet de découvrir les rouages du passeur d’âmes.

 

ü  L’insémination. Situation très récente dans l’histoire de l’humanité, elle n’a pas encore révélé toutes ses conséquences pour les enfants. Le problème de choix est sans conteste inhérent à cette situation, choix des spermatozoïdes et des ovocytes provenant d’un être humain (avec la part consciente ou non du technicien de laboratoire) et non de la nature. Le stage passeur d’âme reste également essentiel pour clôturer le sujet sur les passeur d’âmes.

 

ü  La stérilité avec son pendant l’adoption. Dans cette situation, l’enfant comme les parents viennent tester certaines expériences dont celle de l’abandon.

 

Tous ces modes de conception vont « servir » pour venir éprouver une expérience. Un enfant né de la violence va être conçu avec ce lien particulier à l’amour et à la confiance que sa mère lui transmettra toute sa vie (consciemment ou non car elle gardera toujours en tête le fait qu’il s’agit d’un enfant qui n’est pas né de l’amour)…

A – La disparition du corps physique

Au moment de la mort, le corps physique cesse de fonctionner. Les différents corps énergétiques (éthériques – émotionnels…) vont alors se détacher, faisant ainsi disparaître le cordon (ou corde) d’argent qui unit les corps énergétiques au corps physique et qui retient les personnes qui font une sortie de corps afin de pouvoir revenir « sur terre ». L’énergie présente dans le corps (l’aura) qui disparait lors de la mort a été mise en évidence avec les photos de Kirlian. La photo ou effet Kirlian a été découvert accidentellement par le couple russe qui porte ce nom en 1939. Ils mettent en évidence un halo lumineux autour d’un objet soumis à une haute tension électrique. Cette apparition sera interprétée bien plus tard comme la manifestation de l’aura.

Traditionnellement, un temps de trois jours est laissé avant d’enterrer ses morts (délai pouvant être réduit à deux jours dans le droit français). Les différentes traditions religieuses portent une grande importance sur ce temps qui sert bien évidemment à accompagner les défunts, à aider au deuil mais également et surtout de prendre le temps de la séparation du cordon d’argent et du départ de l’âme. Ce délai des trois jours, qui sera mis en avant par la suite, est également celui à partir duquel les empreintes digitales disparaissent.

B – Pourquoi l’âme à besoin d’aide ?

Si l’âme suit un parcours de vie et que les personnages psychopompes interviennent pour l’aider à passer, pourquoi aurait-elle besoin d’aide ? La réponse est très simple. Il arrive certaines fois qu’elle reste coincée dans un « inter monde » qui n’est ni le monde des vivants, ni celui de la Lumière dans lequel se retrouvent les âmes après leur incarnation et avant leur nouvelle réincarnation. C’est alors le travail du passeur d’âme que de les accompagner lorsque le parcours ne s’est pas achevé correctement.

C – Le parcours de l’âme

Vers la Lumière

Lorsqu’un individu meurt (quel qu’en soit la cause), son corps physique va s’éteindre (le cœur va s’arrêter de battre et le cerveau de fonctionner). Le niveau énergétique, que l’on peut mesurer grâce à l’échelle de Bovis (Alfred Bovis, quincailler niçois, était un géo-trouvetou qui, en cherchant à mesure la vitalité des œufs, a construit une échelle dont la mesure correspond à la longueur d’onde Angström), devient nul. Au bout de trois jours, l’âme va alors se détacher du corps physique pour rejoindre son royaume.

Elle reste sur le plan terrestre

Elle doit donc normalement se rendre vers un lieu que nous allons dénommer la Lumière (sachant qu’il existe un grand nombre de termes pour qualifier cette destination : l’autre monde, l’au-delà…), notamment, comme cela a été présenté, grâce aux personnage psychopompe qui viennent accompagner les âmes dans ce parcours semé de pièges.

Mais il se peut que ce processus ne se réalise pas et que l’âme reste au plan physique sans son corps physique ! Ce qui peut être fâcheux, c’est qu’elles se sont séparées de leur corps physique mais elles en gardent les stigmates : les peurs, les envies (alcool, drogue…), les inquiétudes, les douleurs… Elles repassent sur les lieux qu’elles ont connus et cherchent de temps en temps à communiquer auprès des personnes qu’elles rencontrent (en s’accaparant à elles ou en voulant transmettre des messages).

Où vivent-elles alors ? Elles vivent dans un inter-monde qui n’est ni celui des vivants, ni celui où elle aurait dû aller. Elles peuvent voir et certaines fois interagir avec les êtres humains mais de manière parcellaire.

Pourquoi rester ?

Il existe plusieurs raisons qui expliquent que l’âme ne se rende pas directement vers la Lumière :

ü  Lorsque les personnes décèdent de manière brusque, l’âme ne se rend pas compte que le corps physique n’est plus de ce monde. C’est le cas des pendaisons, des morts violentes en transport (voiture, avion)…  Elles vont alors errer, souvent sur les lieux du drame, à la recherche de leur corps physique ou de la direction de la Lumière ;

 

ü  Le fœtus est mort avant la naissance. Avant l’apparition de la médecine moderne, les femmes faisaient appel à des « faiseuses d’anges » pour procéder à des interruptions volontaires de grossesse. Les interruptions involontaires sont également nombreuses et peuvent trouver leur source dans l’âme qui finalement ne se trouve pas dans l’endroit escompté, cherche à expérimenter ou faire expérimenter cette situation, trouve que c’est trop tôt et reviendra ultérieurement… L’âme peut alors :

o   Rester accrochée dans le ventre de la mère et va la parasiter ;

o   S’accrocher sur le fœtus de la prochaine gestation ;

o   Lors de jumeaux, s’accrocher sur celui qui voit le jour (avec le sentiment de manque ou de perte chez la mère et/ou l’autre enfant) ;

 

ü  Lorsque la personne est très attachée à des aspects matériels (maison, argent, alcool, drogue…). Elle cherche à tout prix à rester sur terre pour continuer à savourer ces moments, ces plaisirs au travers des vivants ;

 

ü  Lorsque les personnes qui l’aiment la retiennent au moment du départ. C’est une chose très courante. La perte du proche est tellement traumatisante qu’au lieu de laisser partir l’âme, un proche va se l’accaparer. Ce ne sera plus une âme errante mais une âme « accrochée » sur une personne vivante avec qui les échanges vont se construire ;

 

ü  Lorsque la personne décédée souhaite à tout prix rester auprès des siens par amour, pour les consoler, protéger, guider ou bien pour s’excuser de leurs actes durant leur vie physique ;

 

ü  Le pendant de l’accroche auprès de ses proches est celle sur les lieux. Lorsque la personne a été particulièrement attaché à une maison, un jardin…, elle décide de s’y raccrocher pour y (re)savourer les moments passés (dans une maison ou une pièce en particulier) ;

 

ü  Lorsque la personne physique s’est toujours persuadée que l’esprit ne peut subsister après la mort. Ces personnes très cartésiennes sont peu nombreuses mais vont se retrouver coincées et auront besoin d’aide pour retrouver la Lumière ;

 

ü  Elles ne savent pas où aller. Le personnage psychopompe qui devait venir les accompagner ne s’est pas présenté. Elles se trouve de ce fait perdues.

 

Le moment du décès étant un moment charnière dans le passage de l’âme au plan astral ou son maintien proche du monde terrestre, c’est autour des hôpitaux que se croisent le plus d’âmes et l’endroit propice pour qu’elles s’accrochent sur les personnes (notamment durant les opérations chirurgicales). Elles foisonnent également sur les lieux remplis de drames : guerre, catastrophes… Elles sont également attirées par tout ce qui est émotionnellement négatif. Une personne remplie de colère, de haine ou de jalousie en attirera à coup sûr.